Rio… Même si la ville des Cariocas figurait dans ma liste des voyages à faire, je ne pensais pas forcément y aller un jour. Mais voilà, il suffit parfois de peu pour qu’un certain billet d’avion se retrouve à la maison, et être de mariage, fait partie de ce « peu » là.
Même si avoir un copain sur place aide beaucoup dans la préparation du séjour, pour ne pas partir à l’aventure (c’est mieux pour profiter au maximum du séjour), je me suis quand même renseignée de mon côté… Et lors de cette étape, je me suis posée de nombreuses questions pour lesquelles tous les avis étaient différents. Rio est certes une grande ville, mais ce n’est pas forcément comme chez nous. Vaccins, guides, indispensables pour un très long vol et pour le séjour… Aujourd’hui, on met tout à plat ici.
Choisir un bon guide :
Depuis que je voyage, même si je passe de nombreuses heures à parcourir la toile, les forums pour me noter ce qu’il faut faire, j’ai toujours besoin d’un guide papier. Et j’ai une affection particulière pour les Lonely Planet qui sont très bien faits. Mais depuis peu, je complète avec les Cartovilles qui sont très pratiques grâce à leur découpage par quartier.
Santé et les vaccins :
En temps normal, les vaccins et moi, c’est pas ça. Mais bon, mieux vaut prévenir que guérir, surtout quand on est loin de la maison. Du coup, au programme c’était :
– rappel du« classique » DTP qui, soyons clairs, rend malade. J’ai une balle de golf rouge qui s’est mise à pousser sur le bras, de la fièvre et des courbatures. Je passerais la douleur qui allait avec…
– la fièvre jaune, fortement recommandée… Et qui rend bien malade elle aussi
– l’hépatite A : comme je suis extrêmement sensible niveau alimentation, j’avais une énorme appréhension quant à la nourriture locale. Donc quand j’ai appris que ce vaccin pouvait éventuellement m’aider, je n’ai pas hésité… mais il n’est pas super bien passé lui non plus.
Au final, ce cocktail diabolique provoque un état grippal hybride pendant 3 semaines… Et toutes les personnes avec qui j’en parle confirment (alors que les médecins te jurent le contraire).
La veille du départ, j’ai également entamé une cure de probiotiques voyages. Recommandés par ma pharmacienne alors que j’allais prendre ma trousse de secours, à raison d’une gélule par jour, je n’ai eu aucun problème digestif.
Ma trousse de beauté idéale pour survivre au long courrier et sur place
Voir que le vol fait plus de 10h sur la télé de l’avion n’est pas un élément qui met particulièrement en joie. Avec mon presque mètre 80, j’ai souvent du mal à caser mes jambes. Heureusement cette fois, on avait opté pour la solution de la réservation de la place (certes un peu plus chère mais tellement plus chouette). Voyager en éco oui, mais juste derrière l’éco Premium permet d’avoir beaucoup (beaucoup beaucoup) plus de place pour les jambes !
En partant de nuit, on sait que l’on va dormir une partie du vol, même si le confort n’est pas forcément au rendez-vous. Donc pour éviter d’avoir une tête monstrueuse à l’arrivée en plus d’emporter mon coussin de cou, j’ai ajouté dans mon bagage à main une petite trousse avec quelques indispensables :
– un loup pour éviter d’avoir la lumière du voisin en guise de réveil,
– des patchs lissants et défatiguants Klorane (il faut juste penser à se planquer un peu pour les appliquer avant de dormir, une fois le loup sur la figure personne ne voit rien)
– des boules Quies (pour ne pas entendre l’autre voisin ronfler),
– un petit brumisateur d’Eau thermale Avène (qui peut également sauver la vie pendant le séjour !)
– des lingettes bébé Klorane (la douche d’avant le départ montre souvent ses limites en cas de long courrier)
– le déo
Avec tout ça, à l’arrivée à 6h du matin, j’étais presque en bon état.
Question make-up, pour un voyage au début du printemps, la chaleur et l’humidité sont déjà terribles. J’avais emporté mes classiques : ma poudre Terracotta Guerlain, Naked Urban Decay, mais en fait j’ai surtout utilisé mon Caviar Stick Laura Mercier, lui seul tenait toute une journée !
(et tu peux me croire, avec cette humidité monstrueuse, c’était un exploit !)
Les moustiques, le soleil, se protéger sur place :
Avec ma peau à moustiques, j’ai opté pour une solution un peu « extrême » mais je n’ai pas servi d’apéro aux énormes bestioles.
Avant de partir, tous les habits ont été passés au répulsif moustiques Cinq sur Cinq vêtement. Vaporisé en extérieur, le produit a tué tous les insectes que j’avais sur le balcon et presque mes plantes dans la foulée… En voyant ça, j’ai continué le traitement en passant par une méthode plus « saine » et moins effrayante : les huiles essentielles de Citronnelle de java bio Naturactive sur les vêtements, dans les chaussures et sur les petits bracelets, et le Moustic spray Naturactive en complément pour l’appartement.
Pour le soleil, là aussi, mieux vaut en faire trop surtout avec une peau claire. Même si le temps a souvent été couvert, on sentait bien que ça tapait à travers les nuages. Heureusement, j’avais emporté tout l’arsenal nécessaire :
– le spray très haute protection A-Derma Protect,
– le fluide matifiant très haute protection A-Derma Protect,
– le petit réflexe très haute protection Avène à glisser dans le sac,
– le lait réparateur après-soleil A-Derma Protect AH,
– le lait apaisant Sensinol Ducray,
– l’huile d’amande douce Naturactive,
Pour finir, même si ces conseils me paraissent évidents parce que j’ai l’habitude de partir, quand on voyage pour la première fois, on n’a pas les mêmes réflexes :
– voir avec sa banque pour éventuellement augmenter les fonds de sa carte bancaire (surtout si on prévoit du shopping),
– voir si on peut télécharger une application pour téléphoner gratuitement à l’étranger (sinon il y a toujours un code wifi pour envoyer un moins un petit mail !),
– faire plusieurs copies de son passeport pour ne pas l’avoir sur soi la journée, et privilégier l’utilisation des copies sur place,
– toujours avoir une trousse à pharmacie même avec des produits pour les petits bobos !
– laisser tous les bijoux à la maison avant de partir,
– avoir du liquide sur soi (mais trop non plus !) et pas forcément sa carte bleue. Ou sinon ne prendre qu’une carte sur deux, ça évite de se retrouver sans rien en cas de pépin !
Alors, on part en voyage ?
2 Commentaires
Si j’écoute Dario Moreno au moins je sais quoi faire ! Merci
Ohnoooooooooon tu donnes trop envie de partir !!!