Je sais pas toi, mais en ce moment, je trouve qu’on cuit bien ! Tout ce que tu peux faire te transforme en carafe sortie du frigo… La moindre parcelle d’ombre est convoitée, et le seul endroit où l’on se sent bien c’est le frigo !
La journée, tu bois des litres d’eau (froide, chaude, n’importe, l’effet est le même), tu te traînes, même la piscine n’arrive plus à rafraîchir.
Le soir, t’as beau ouvrir les fenêtres, si t’as de l’air, t’as l’impression qu’un séchoir géant se trouve devant chez toi, et la nuit ben c’est pareil : rien que la remise en place du coussin est un effort trop important ! Et rebelote le matin, quand tu te lèves, tu luis comme un sou neuf parce que t’as déjà trop chaud !
(et forcément la rallonge n’est pas assez longue pour pouvoir faire suivre le ventilo partout dans la maison…)
En ce moment, j’ai l »impression que tout est comme ça :
Si on avait oublié quel effet ça fait au poisson quand il est en papillote dans le four, ce temps n’hésite pas à nous le rappeler ! Alors je rigole bien quand je vois la dernière pub Perrier à la télé !
(J’ai toujours aimé les pubs Perrier. Petite je crois que c’est grâce à elles que je chantais « Sex Machine » de James Brown ! Tu sais dans celle sur la lune !)
Puis en plus, elle me fait penser au clip de la chanson Absolution de Muse. (si, si regardes : )
(voilà pour Perrier)
Bon certes, Matthew Bellamy ne sauve pas le monde en jetant la dernière goutte de Perrier dans un soleil au bord de l’explosion, mais quand même !
Donc dans un dernier sursaut, j’ai voulu moi aussi tester « l’effet Perrier » pendant que tout crame dehors … et grosse déception, ça n’a pas fait comme à la télé !
On n’a plus qu’à rester comme on peut au frais et peut être qu’on finira par réussir à se rafraîchir !
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