Ce mois ci je vais faire une petite entorse à mes beauty heroes « classiques ».
J’ai très envie de commencer mon récap avec deux bouquins que j’ai découvert.
Je vais commencer par le moins gai, mais certainement le plus beau livre que j’ai pu lire jusqu’à aujourd’hui : L’Année de la pensée magique de Joan Didion. Ce livre est bouleversant, il n’y a pas d’autre mot. Pour le lire, il y a juste une condition obligatoire : il faut absolument être dans de bonnes conditions psychologiques, sinon tu peux aller t’acheter 10 mètres de cordes chez Leroy Merlin !
Je m’explique.
Dans ce livre Joan Didion nous parle du deuil. De son deuil. De l’année qu’elle passe suite au décès soudain de son mari.
Il y a moins de deux ans j’ai perdu mon beau père. Tombé malade du jour au lendemain, on a espéré pendant quelques mois qu’il se remette… mais en vain. Cette expérience traumatisante a laissé des plaies qui ont du mal à se refermer et, même si ça peut paraitre bizarre, grâce à ce livre, j’ai l’impression d’avoir enfin fait mon deuil. J’ai pleuré comme une madeleine pendant ma lecture, ça s’est empiré à la fin, j’ai passé un mois sans pouvoir ouvrir un autre bouquin, mais j’ai l’impression d’avoir avancé.
C’est vraiment un livre que je recommande à tout le monde. Deuil ou pas deuil, il faut le lire !
Quatrième de couverture :
Une soirée ordinaire, fin décembre à New York. Joan Didion s’apprête à dîner avec son mari, l’écrivain John Gregory Dunne – quand ce dernier s’écroule, victime d’une crise cardiaque foudroyante. Pendant une année entière, elle essaie de se résigner à la mort de son compagnon et de s’occuper de leur fille, gravement malade. Dans un récit sobre et sans complaisance, l’auteur raconte la folie du deuil et dissèque, entre sécheresse clinique et monologue intérieur, une expérience indicible – et sa rédemption par la littérature. Best-seller encensé par la critique aux États-unis, L’Année de la pensée magique, déjà considéré comme un classique, a été couronné par le national Book Award.
Bon maintenant que j’ai déprimé tout le monde (ne me remerciez pas, ça me fait plaisir ^^), on peut parler d’un autre livre, plus léger : Galveston de Nic Pizzolatto. J’ai découvert ce bouquin grâce aux conseils de mon libraire chez Série B.
Je lui avais expliqué que j’avais adoré la série True Détective, et je ne pouvais qu’apprécier ce livre puisque Nic Pizzolatto a créé la série ! On y retrouve clairement l’ambiance des épisodes, les personnages écorchés vif… le livre se dévore en moins de deux.
A lire absolument !
Quatrième de couverture:
1987, La Nouvelle-Orléans. Les temps sont durs pour les petits gangsters comme Roy Cady. Non seulement il apprend que ses poumons sont troués par un cancer, mais son boss l’envoie tout droit dans un traquenard. Il n’y a plus qu’un horizon : la cavale. En compagnie d’une jeune prostituée écorchée par la vie, il fuit les représailles sur les routes brûlantes du golfe du Mexique, là où chaque heure conquise porte le goût de la poussière et du sang…
Pour finir, les stars du billet, ces produits qui m’ont sauvé la vie ! Alors certes je n’ai pas réussi à récupérer une peau nickel avec l’horrible éruption cutanée que j’ai eu mais je dois reconnaitre qu’ils ont bien limité la casse !! Pour ce faire, j’ai successivement utilisé la crème gommante Absolution que j’avais eu dans la box Greenchic Coline X Birchbox. Avec ses petits grains ultra doux, elle a exfolié et nettoyé ma peau sans pour me décaper le visage. Soit le gommage doux purifiant Avène, qui, lui aussi vient nettoyer la peau tout en douceur. Et j’ai enchainé avec le masque triple action Keracnyl.
Puis à partir des tests de ma Lookfantastic box et de ma Glossybox, deux autres soins sont sont venus compléter la liste : le AHA / BHA Exfoliating Cleanser Dr Murad et le gommage visage Huygens.
2 Commentaires
ok l’année de la pensee magique, je suis tes conseils, je note! très envie de nouvelles lectures en ce moment.
Tu verras, il est magnifique !!!