Depuis le début de ce blog, je ne te parle que de trucs légers comme les vernis, le maquillage, les produits de beauté, et je corse un peu quand j’évoque mes plus ou moins ratés culinaires.
Mais y a un autre truc que j’aime beaucoup : lire ! Il m’arrive d’avoir des « crises de lecture » parfois, et je peux réussir à enchaîner jusqu’à 30 livres en 3 mois… (oui, je sais ça fait un peu boulimique de le lecture… mais on ne se refait pas !)
C’est toujours le même schéma, je découvre un auteur, au mieux j’aime pas et c’est tant mieux pour ma bibliothèque j’ai envie de te dire, au pire, je tombe sous le charme et je m’avale tout ce qu’il a pu écrire jusqu’à aujourd’hui (no comment !).
J’ai beau essayé de freiner et de varier en lisant d’autres auteurs entre 2 tomes de celui du moment, mais je finis toujours par craquer et lire 3 tomes d’un coup. Quitte après à culpabiliser parce que en y réfléchissant, quand on enchaîne autant de livres, on n’apprécie plus autant l’histoire il me semble.
Mais à force d’y travailler, j’ai réussi à espacer de plusieurs mois 2 tomes ! L’auteur concerné est Carlos Luiz Zafon (écrivain et scénariste catalan). Je ne sais pas si tu connais, mais je suis tombée sous le charme. Je n’ai lu que deux de ces livres, mais ce n’est que le début !
Son premier roman est L’ombre du vent (qui est carrément une tuerie), je te cite la 4ème de couverture : Dans la Barcelone de l’après-guerre civile, « ville des Prodiges » marquée par la défaite, la vie est difficile, les haines rôdent toujours. Par un matin brumeux de 1945, un homme emmène son petit garçon – Daniel Sempere, le narrateur – dans un lieu mystérieux du quartier Gothique : le Cimetière des livres oubliés. L’enfant, qui rêve toujours de sa mère morte, est ainsi convié par son père, modeste boutiquier de livres d’occasion, à un étrange rituel qui se transmet de génération en génération : il doit y « adopter » un volume parmi des centaines de milliers. Là, il rencontre le livre qui va changer le cours de sa vie, le marquer à jamais et l’entraîner dans un labyrinthe d’aventures et de secrets « enterrés dans l’âme de la ville » : L’Ombre du vent. Avec ce tableau historique, roman d’apprentissage évoquant les émois de l’adolescence, récit fantastique dans la pure tradition du Fantôme de l’Opéra ou du Maître et Marguerite, énigme où les mystères s’emboîtent comme des poupées russes, Carlos Ruiz Zafón mêle inextricablement la littérature et la vie.
Au début, j’ai eu un peu de mal y me mettre dans l’histoire, je trouvais que c’était lent, mais comme je déteste commencer un livre et ne pas le finir, je me suis « forcée » et j’ai bien fait ! (bon faut dire que je sortais d’une énorme période « polar »… La transition n’est jamais facile dans ces cas là !)
Ce premier roman pose bien l’univers si particulier (et si fanstatique !!!) de Zafon.
Le troisième est Marina (oui, je sais, j’ai pas lu dans l’ordre de sortie !) (et lui aussi c’est une tuerie !), là aussi, je te cite la 4ème de couverture : Interne au pensionnat, Óscar aime faire le mur, errer dans les rues désertes, les pinèdes, les villas d’un quartier laissé à l’abandon. Il suffira d’un chat et d’une montre en or pour qu’il bascule au pays des merveilles. Un royaume hanté par des amours mortes, un savant fou et les fantômes de Gaudí. Une Barcelone de rêve et de cauchemar, de théâtre et de cimetière, souterraine et baroque, d’où seul s’évadera le souvenir de son guide : l’inoubliable Marina…
Encore une fois, on plonge directement dans un monde parallèle !
Ce que j’aime depuis le début avec cet auteur, c’est qu’en lisant ces romans, on retombe presque en enfance grâce aux personnages et à leurs aventures.
Donc si tu n’es pas déjà sur Amazon en train de commander un de ces deux livres, fais le vite !
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