Bonjour tout le monde ! On se retrouve aujourd’hui pour un nouvel article spécial Netflix. Même si il y a quelques temps que l’on n’a fait de débrief’, on a découvert de nouvelles séries (ou continué d’anciennes) et parmi elles, on a pas mal accroché sur certaines. Dans la liste on trouve :
Marcella :
Le pitch : Une mère de famille ancienne policière, Marcella Backland, décide de reprendre le travail quand son mari Jason lui annonce qu’il la quitte. Elle doit reprendre une enquête sur une série de meurtres qui viennent de reprendre. En parallèle, elle suit son mari et découvre qu’il a une liaison avec Grace Gibson, une riche héritière. Marcella souffre de pertes de mémoire, et quand Grace Gibson est portée disparue, elle retrouve l’endroit où se trouve son corps à l’aide de flash-back. Elle craint alors l’avoir tuée lors d’une absence.
Cette série anglaise me fait un peu penser à Broadchurch ou Trapped. On retrouve un personnage principal « mystérieux », avec des casseroles qui s’expliquent au fur et à mesure. Sauf que là il s’agit d’une femme, qu’au lieu d’être dans un endroit reculé ou complétement pelé, on est à Londres (ça donne d’ailleurs parfois très envie d’y retourner) et que même si Marcella est attachante, il y a des moments où l’on se dit qu’elle est complétement azimutée la pauvre !
Casa de Papel :
Le pitch : Le Professeur et son équipe se retrouvent pour libérer Rio et élaborer un nouveau plan aussi audacieux que dangereux visant la Banque d’Espagne. La résistance continue.
J’attendais la suite de la série avec impatience, mais au final, j’ai été déçue par les épisodes. Le rythme n’était pas assez constant à mon goût, certains passages pouvaient être plus courts, et d’autres, au contraire, plus long. Pour ne pas spoiler ceux qui n’auraient pas encore vu cette saison, je ne parlerai pas de la fin, mais franchement, je ne m’attendais pas à ça.
Mindhunter :
Le pitch : On retrouve les agents Holden Ford et Bill Tench, aidés de la psy Wendy Carr, dans la mise en chantier du Behavioral Science Unit (BSU) au sein de l’Académie du FBI, à Quantico, cette unité qui développa les premières techniques de profilage. Alors qu’ils continuent à interviewer des serial killers condamnés, pour enrichir leur base de données, l’équipe va être envoyée sur une sordide affaire à Atlanta, où une douzaine d’enfants ont été kidnappés et assassinés, en moins d’un an…
Déjà deux ans que l’on attendait la suite de la série et franchement, ça valait vraiment le coup. Cette deuxième saison tient toutes ses promesses, et est encore mieux que la première. Comme pour la première, un marathon Netflix a été fait, sauf que cette fois, on a réussi à faire tenir l’intégralité de la série deux jours. Un record !
The OA :
Le pitch : Sept ans après avoir disparu de chez elle, une jeune femme revient avec de mystérieux pouvoirs et recrute cinq inconnus pour une mission secrète.
Cette série est surprenante. Lorsque nous avons regardé le 1er épisode, il y a eu un énorme blanc quand on a découvert le générique après 1h de visionnage. Les épisodes ne font pas tous la même durée et le rythme est parfois extrêmement long. Comme toujours, l’envie de savoir comment l’histoire se termine était plus forte que tout donc nous avons regardé les deux saisons, mais dire que l’on est resté sur notre faim est faible… Surtout qu’il n’y aura pas de suite d’après ce que j’ai lu il y a quelques temps.
Lucifer :
Le pitch : Lassé et fatigué d’être le « Seigneur des Enfers », Lucifer Morningstar abandonne son royaume et s’en va à Los Angeles où il est propriétaire d’une boîte de nuit appelée « Lux ». Lucifer a reçu le don de contraindre les gens à révéler leurs désirs les plus profonds. Un soir, Lucifer assiste au meurtre d’une chanteuse pop devant son club. Il décide donc d’aller à la recherche du coupable et croise sur son chemin une policière nommée Chloe Decker qui résiste à son don et lui met des bâtons dans les roues.
Pendant que Lucifer Morningstar et Chloe Decker font équipe pour trouver le meurtrier, Dieu envoie l’ange Amenadiel sur Terre pour convaincre Lucifer de régner à nouveau sur l’Enfer.
Certainement la plus légère de toutes les séries ci-dessus mais de temps en temps, ça fait un bien fou de poser le cerveau. C’est de la même trempe que Castle : l’acteur principal est terriblement mignon, il chante, est drôle, la musique est pas mal, bref, c’est la série idéale pour se détendre !
Quand je pense que la prochaine sera la dernière, c’est vraiment bien triste !
Et vous les filles, vous regardez quoi en ce moment ?
Pas encore de commentaires